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TEST : The Legend of Heroes – Trails of Cold Steel IV sur Nintendo Switch

TEST : The Legend of Heroes – Trails of Cold Steel IV sur Nintendo Switch

TEST : The Legend of Heroes – Trails of Cold Steel IV sur Nintendo Switch

Genre : JRPG, Action, Aventure
Langues : Anglais/Japonais Sous-titres : Anglais
Développé par Nihon Falcom
Édité par NIS America
Sortie France : 09/04/2021
Prix : 59.99€ sur l’eShop, 49.99€ version boîte
Taille : 10903.00MB
Joueurs : 1
Age minimum : 12

Site Web Officiel

Piqûre de rappel (opus 1 à 3) :

L’histoire se déroule sous l’Empire d’Erebonia (après la série Trails in the Sky) et l’intrigue est centrée sur Rean Schwarzer et ses camarades (soldats) de la Classe VII issus de l’académie militaire de Thors (seule classe de toute l’académie qui ne se sépare pas en fonction de la classe sociale).

Le jeu conte les aventure de la classe VII, tout au long de l’année scolaire, se concentrant sur leurs études terrain (missions) qui les emmènent à être témoins de la réalité de l’empire (lutte de classes), pour laquelle une conduite opère vers une guerre civile. Ils se verront entrer en conflit avec un groupe terroriste : Le Front de Libération Impérial, dirigé par leur leader : Crow.

Pendant leur séjour à l’académie, la classe VII est également chargée d’enquêter sur la « Old Schoolhouse », dans laquelle ils découvrent leur premier “mécha” (type  Evangelion) : Valimar.

Assassinat et coup d’État de la faction noble entraînent l’occupation de Thors par des forces dirigées par Crow (qui pilote son propre mecha). Rean appelle Valimar afin de combattre Crow en duel, à la suite duquel Rean est vaincu et décide de prendre la fuite. Il est rattrapé par la Noble Alliance, qui s’est associée au Front de Libération Impérial.

Les étudiants de l’Académie militaire de Thors, y compris ceux de la Classe VII, se retrouvent dispersés à travers le pays. Rean tente donc de réunir tout le monde à nouveau afin de mettre fin à cette guerre civile.

Rean Schwarzer est désormais instructeur au Thors Branch Campus, enseignant la nouvelle génération de la classe VII. La nouvelle classe est composée de Juna Crawford, Kurt Vander, Altina Orion, Ash Carbide et Musse Egret.

Tout en entraînant ses élèves, Rean est chargé par le gouvernement impérial de résoudre de nombreux conflits survenant dans tout Erebonia, dans le cadre des exercices sur le terrain du campus, durant lesquels ses anciens camarades de classe VII l’assistent. Les incidents ont été provoqués par l’organisation “Ouroboros” en vue de reprendre le plan Phantasmal Blaze dérobé par le chancelier Osborne à la fin de la guerre civile.

Lors de malheureux évènements (tentative d’assassinat), le chancelier Osborne prend alors le pouvoir en tant qu’Empereur intérimaire et jette la faute des incidents récent sur la République de Calvard, limitrophe, créant un casus belli.

Rean et ses amis finissent par entrer en contact avec Roselia du clan Hexen, une sorcière immortelle qui veillait sur Erebonia depuis des siècles. Roselia explique qu’il y a plus de mille ans, les ancêtres d’Erebonia se sont fait la guerre en utilisant les Sept-Terrions (armes divines) et ont finalement décidé de les sceller dans des méchas pour que les hommes ne profitent pas de leur puissance.

Pendant ce temps, le chancelier Osborne et les organisations ennemies se sont alliés pour déclencher la malédiction du « grand crépuscule » qui mettrait fin au monde (on y vient!). Rean et ses amis tentent de les arrêter. Après que Millium se soit sacrifiée pour protéger Rean et sa sœur Altina, ce dernier perd le contrôle de ses pouvoirs, transformant Valimar en une entité à l’apparence diabolique, débloquant de manière permanente le pouvoir Ogre de Rean, mettant fin à la malédiction.

Osborne, Crow, Rutger et Arianrhod invoquent alors leurs chevaliers divins, vainquent et capturent Rean et son mécha Valimar.

Déterminé à sauver Rean et à mettre un terme aux plans d’Osborne, Juna prend en charge la classe VII et parcourt le continent pour découvrir les plans ennemis et organiser une mission de sauvetage.

C’est à ce moment précis que commence VOTRE aventure !

  • A travers le monde :

Bienvenue dans un monde ouvert, dans lequel vos chapitres (niveaux) correspondent à des jours, des mois et finalement une année de dur labeur.

Plus l’année passe, plus vous avez accès à de nouvelles zones (contrées du continent) et ainsi l’accès à un bestiaire plus imposant, une histoire plus prenante et de nouveaux alliés qui se joindront à votre bataille.

Lors de votre séjour, vous allez visiter et revisiter toute la contrée d’Erebonia à pied ou à cheval ! Malgré la fantaisie qui règne sur ces contrées, votre monture reste un “simple” équidé. N’étant pas disponible de partout vous avez également l’option “courir” (endurance infinie). Marcher, ça va un temps !

Sur la carte du monde, si vous n’êtes pas en ville, vous devez rester sur vos gardes car si vous entrer dans le périmètre d’action d’un ennemi, il se jettera sur vous! Même des mini boss sont présents et ils cachent très souvent un (joli) petit coffre derrière eux.

Lors d’une rencontre ennemie, il peut se produire plusieurs évènements : vous l’étourdissez ou le prenez par-derrière et vous avez l’avantage (un avantage triple en cas d’attaque spéciale) ou bien c’est l’ennemi qui se jette sur vous et le récupère. Il faut savoir que si plusieurs (groupe) ennemis sont proches, ils vont s’allier en combat (chacun leur tour).

Vous pouvez également accélérer le jeu : les dialogues, les déplacements en ville et les combats. Vous vous déplacez comme Flash Gordon et c’est un réel plaisir lorsqu’on souhaite “avancer” rapidement dans l’histoire.

En avant les combats :

C’est le gros point fort de ce titre, voire même de cette licence ! Les combats sont entrainants, divertissants et changent d’un ennemi à un autre !

Il faut savoir que, contrairement à beaucoup de (J-)RPG vous pouvez contrôler une équipe de 4 personnages (+ une équipe support) parmi un total de +15 personnages jouables, possédant chacun leur histoire et leurs attaques spéciales.

Voici l’arsenal de possibilités qui se proposent à vous :

    • Compétences défensives : objets, fuite, magie blanche, attaque spéciale, battle point
    • Compétences offensives : objets, magie noire, attaque classique, attaque spéciale, invocation

Une barre de combat indique le tour des personnages (alliés/ennemis). Il faut rester attentif à cette dernière car elle peut renverser le cours du match grâce aux bonus qu’elle offre (mana ou battle point à coût zéro, coup critique, etc).

Les battles points (que l’on obtient via les coups critiques ou la faiblesse ennemie) permettent de lancer de puissantes capacités de soutien mais aussi de pouvoir “rusher” les monstres ennemis (soit en appelant un allié, soit en appelant 2 soit en appelant toute la cavalerie) selon les points dont vous disposez.

Les attaques spéciales, elles, consomment des CP qui se régénèrent en frappant vos ennemis en combat (ou en vous faisant attaquer mais c’est moins drôle). Chaque attaque spéciale possède sa petite cinématique de type “manga-style”.

Autant vous dire que les combinaisons sont infinies selon vos opposants. Certains combats nécessitent d’achever les ennemis, d’autres de tenir une 40 aine de tours et encore d’autres de faire descendre la barre de vie des ennemis sous un seuil.

Bim, bam, boum !

Ce jeu est une petite perle pour une console de salon comme la Nintendo Switch (pour une fois).

Le chara-désign, les environnements, les éléments dynamiques du décor. Tout est pensé et articulé pour que l’expérience utilisateur soit optimale (pour une console avec une telle puissance).

L’avantage (ou non, selon la licence) est que les cinématiques reprennent les graphismes “actuels” du jeu. On parle alors de “cut-scenes” mise en œuvre afin d’organiser l’histoire de Trail of Cold Steel. Ca plaira auprès de certains joueurs et moins auprès d’autres qui apprécieront de belles cinématiques ultra HD comme dans les derniers opus de Final Fantasy (par exemple).

Avec un savoureux mélange à la sauce “manga” nos personnages possèdent, chacun, un look unique et personnalisable au sein de l’interface du jeu. Ce qui rend chaque cinématique et combat en adéquation avec la personnalisation / costumes disponibles pour chacun. Gros plus vis à vis des JRP dans lesquels le changement d’équipement n’a aucun impact sur les animations vidéos.

Malicious fiend (sountrack)

La licence Trail of Cold Steel est devenue l’un des piliers du monde du J-RPG et apporte avec elle un orchestre symphonique et un mélange d’artistes musicaux de haut niveau.

La bande-son est issue de la maison de disque FALCOM LABEL qui apporte avec elle les sublimes soundtrack de “The Falcom Sound Team jdk” que vous pouvez retrouver ici.

A écouter, réécouter et ne pas s’en lasser !

ps : les voix sont anglaises ou japonaises (pas de français à l’horizon)

On s’en arrête où ?

Outre les longues parties dues à sa (sublime) histoire “de base”, pour laquelle il faudra, à minima, 50 heures de jeu, il existe aussi aussi un contenu bien plus gigantesque qui se cache derrière, mais qui reste néanmoins optionnel.

Commençons par le bémol de temps : les dialogues. Si vous ne les passez pas ou si vous n’accélérez pas le temps pour pouvoir lire chaque ligne qui apparaisse sous vos yeux, vous pouvez tripler le compteur temps indiqué ci-dessus. Etant le 4ème opus de la série, il y a beaucoup de flash back, de souvenirs, de reprise d’informations issus des jeux / histoires précédent(e)s. Parfois les dialogues semblent interminables.

Des zones cachées, des coffres de défi et des boss sont disposés sur la carte avec des récompenses plus ou moins intéressantes. Quel gamer passerait à côté ? L’âme du conquérant parle et nos actes avec !

En ajoutant à cela la collection de vos équipements à booster + les “Quartz”, votre quota d’heures va exploser! Les quartz sont les orbes magiques qui vous permettent de créer des sorts de magie noire ou blanche. Elles fonctionnent comme des matéria(s) que l’on retrouve dans l’opus : final fantasy VII.

Elles ont un niveau 1 à 3 (à fusionner) et vous devrez débloquer des emplacements de votre “master quartz” (réceptacle à orbes) pour les invoquer en et hors combat (vive les soins).

Des mini-jeux sont également disponibles.

Le plus important reste le “Vantage Master” un jeu de cartes de combat dans lequel vous devez traverser le continent pour retrouver des joueurs et les affronter pour obtenir des récompenses diverses et variées (cartes, objets, orbes magiques).

Vous avez également accès au casino pour jouer une partie de blackjack ou de poker (pour les connaisseurs), mais également des parties de “tetris” avec Mishette et Mishy au square.

Sans oublier toutes les quêtes annexes, vous n’allez clairement pas vous ennuyer !

Avec un “backstory” en entrée de jeu, ce dernier permet aux joueurs qui n’ont jamais joué aux précédents opus de pouvoir comprendre l’histoire et avancer avec elle. Si vous êtes fan de RPG ou JRPG (à succès) alors vous serez ravis de jouer au numéro 4. Finalement le gameplay passe avant tout!

Le contenu est bluffant, l’histoire est très bien ficelée, le gameplay est fou et ce titre vient clore la licence avec succès.

 

Points forts : l’art du combat, le contenu additionnel, la personnalisation, le nombre de personnages jouables

Points faibles : jeu exclusivement en anglais, longs dialogues, des niveaux qui pop seuls avec l’histoire

 

 

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Test :  The legend of heroes : Trails of cold steel IV sur Nintendo Switch réalisé par HERZEKIEL sur une version offerte par l’éditeur
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